Quand la députée dérape
Dans des propos relatés dans l’édition du 2 décembre du Maine Libre, Marietta Karamanli, député PS de la Sarthe, évoque le climat de la Grèce des colonels pour qualifier le débat sur l’identité nationale. Ces propos sont déplacés et outranciers.
La France est une démocratie et la démarche du Président s’inscrit dans le strict respect des valeurs républicaines. La Grèce des colonels est une dictature profondément condamnable, issue d’un coup d’Etat. Chacun peut constater qu’aucun parallèle n’est possible avec la France d’aujourd’hui.
Nicolas Sarkozy, comme tous les élus français, tire sa légitimité du suffrage universel. Décidemment la gauche française utilise toujours les mêmes méthodes pour tenter de disqualifier ses adversaires : en 1958, elle traitait Charles de Gaulle de dictateur, aujourd’hui c’est au tour de Nicolas Sarkozy d’être victime de ce soupçon injurieux.
Au nom de l’UMP – 2ème circonscription, et si ces propos ont bien été tenus, je demande à Marietta Karamanli de les retirer et de participer de manière plus sereine à ce grand débat national.
La France est une démocratie et la démarche du Président s’inscrit dans le strict respect des valeurs républicaines. La Grèce des colonels est une dictature profondément condamnable, issue d’un coup d’Etat. Chacun peut constater qu’aucun parallèle n’est possible avec la France d’aujourd’hui.
Nicolas Sarkozy, comme tous les élus français, tire sa légitimité du suffrage universel. Décidemment la gauche française utilise toujours les mêmes méthodes pour tenter de disqualifier ses adversaires : en 1958, elle traitait Charles de Gaulle de dictateur, aujourd’hui c’est au tour de Nicolas Sarkozy d’être victime de ce soupçon injurieux.
Au nom de l’UMP – 2ème circonscription, et si ces propos ont bien été tenus, je demande à Marietta Karamanli de les retirer et de participer de manière plus sereine à ce grand débat national.